posted by Severine @ 11:08
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Aujourd'hui mademoiselle m'a fait de beaux sourires, si, si, les yeux grands ouverts elle m'a regardé et m'a fait un grand sourire. Bon, en attendant voilà déjà quelques esquisses de sourires.
posted by Severine @ 19:17
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Et oui ça passe trop vite tout le monde le dit ! Déjà plus d'un mois qu'Hélèna a montré le bout de son petit nez. Alors faisons un peu d'histoire :
Helena, impératrice à Rome, au quatrième siècle, honorée le 18 août. (et oui n'est pas impératrice qui veut!)
Née à Drépane, en Bithynie vers 247, fille d'un garçon d'écurie, elle devint la concubine du tribun Constance Chlore Ier dit Chlore le Pâle. Elle fut répudiée en 305, lorsque son époux devint l'empereur romain sous le nom de Constance Chlore Ier et après lui avoir donné un fils, qui devint Constantin le Grand, empereur de 306 à 337. Elle embrassa le christianisme après la célèbre conversion de son fils, et se montra, comme lui, pleine de zèle pour propager la nouvelle religion. Elle était âgée de près de quatre-vingts ans, lorsqu'elle entreprit un voyage en Palestine pour honorer les lieux sanctifiés par le divin Sauveur. Arrivée à Jérusalem , elle se sentit animée d'un désir ardent de trouver la croix sur laquelle Jésus-Christ avait souffert la mort. La recherche n'en était point aisée ; les païens, pour tâcher d'abolir la mémoire de la résurrection de Notre-Seigneur, avaient amassé une grande quantité de terre à l'endroit du sépulcre, et, après y avoir construit une plate-forme, ils y avaient élevé un temple profane. Mais ces obstacles ne purent point arrêter la pieuse princesse. Elle fit détruire le temple, la plate forme, et creusa la terre : la grotte du saint sépulcre fut mise à découvert, (une âme d'archéologue?) et à côté l'on trouva trois croix, avec l'inscription qui avait été attachée à celle de Jésus-Christ, mais séparément des croix. Comment distinguer parmi ces croix celle du Sauveur ? Par les conseils de l'évêque de Jérusalem, elles furent portées chez une femme affligée depuis longtemps d'une maladie incurable, et on lui fit toucher successivement chacune des trois croix ; les deux premières ne produisirent aucun effet ; mais dès qu'on eut approché la troisième, la malade fut subitement guérie et se leva. Sainte Hélène prit une partie de la vraie croix pour la porter à son fils, et ayant enfermé l'autre partie dans une châsse d'argent, elle la remit entre les mains de l'évêque de Jérusalem afin qu'elle fût déposée dans l'Église que Constantin avait ordonné de bâtir sur le saint sépulcre. C'est en mémoire de cet événement que l'Église célèbre le 3 mai la fête de l'« Invention de la sainte croix ». Outre l'église construite avec une grande magnificence sur le saint sépulcre, sainte Hélène en fit bâtir deux autres, l'une à l'endroit où le Sauveur était monté au ciel, l'autre à Bethléem, où il était né. Sa piété ne se borna point là ; elle répandit ses bienfaits partout où elle passa, soulageant par d'abondantes aumônes les pauvres, les veuves et les orphelins. Revenue à Rome, elle y mourut vers 328, à l'âge de plus de quatre-vingts ans, consolée de mérites devant Dieu et devant les hommes. Ses cendres sont aujourd'hui sous le maître-autel de l'église Sainte-Marie-Majeure, à Rome. L'Église honore encore, le 6 mars, la bienheureuse Hélène religieuse de l'ordre de Saint-Claire, au treizième siècle, et le 23 septembre, la bienheureuse Hélène Duglioli, veuve.
posted by Severine @ 11:53
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posted by Severine @ 12:03
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Née le jour de l'Appel du Général, je suis un bébé plein de charme, mon papa Franck et ma maman Séverine sont tombés amoureux de moi dès le premier coup d'oeil ;-)
